C'est aujourd'hui que se termine la programmation des Indes galantes à l'Opéra Bastille, que j'ai eu la chance d'aller voir un dimanche il y a presque dix jours maintenant, avec M.
L'envie était née en janvier déjà, suite au teaser ô combien efficace de Clément Cogitore que j'avais partagé sur les réseaux sociaux. Ce petit billet est d'ailleurs partiellement un prétexte pour le faire à nouveau.
L'envie était née en janvier déjà, suite au teaser ô combien efficace de Clément Cogitore que j'avais partagé sur les réseaux sociaux. Ce petit billet est d'ailleurs partiellement un prétexte pour le faire à nouveau.
On peut avoir certaines réserves (notamment celle de la scène trouée en son centre qui oblige souvent à des contours étranges) et les professionnels de la profession ne s'en privent pas. C'est pourtant regarder la petite partie du verre non remplie, et bouder l'ivresse du spectacle qui nous est donné. Nommer simplement l'excellence vocale, l'énergie de la mise en scène et l'implication des chanteurs et chanteuses dans la danse. Le public, qui sait rendre hommage à la générosité des artistes, leur fait un triomphe le soir où nous assistons à la représentation.