"[...] Je n'enchaîne jamais un livre après un autre, j'attends quelques jours de me préparer au dépaysement, pour les mêmes raisons qu'on reste silencieux en sortant d'une séance de cinéma ; je passe une frontière qui m'impose une quarantaine."
Au cours de ce voyage je n'ai bien sûr pas observé cet usage, décrit par Catherine Millet dans "Jour de souffrance " (éd. Flammarion) bien que je lui reconnaisse sa justesse. Je ne disposais pas de ce temps de latence interstitiel.
J'ai donc fait suivre les lectures les plus hétéroclites. "Sexotherapies", de la journaliste Elsa Fayner, dont le pluriel du titre ne laisse pas présager que l'on va suivre la pratique d'une seule thérapeute, et qui, je l'avoue, ne m'a pas appris grand chose. "Jour de souffrance", déjà cité. "Sur la plage de Chesil", de l'anglais Ian McEwan, que j'avais acheté par curiosité, ne connaissant rien de cet auteur. Un livre que je ne ramènerais pas dans ma valise, de même que celui de l'irakien Sinan Antoon, "Seul le grenadier". "Les Rameaux noirs", de Simon Liberati (éd. Stock) , dont j'attendais beaucoup et qui, forcément, a déçu cette attente. J'imaginais une nouvelle family affair autour de son père, dont j'avais lu expressément le livre "Vieux Capitaine" (Les éditeurs français réunis, 1958), mais ce n'est ni l'objet ni le ton de cet ouvrage. Enfin je commence un autre Millet, "Une enfance de rêve" (Flammarion également) , ce qui confirme mon goût du récit, et plus particulièrement du roman familial... Une addiction ?
Mais la question qui s'est posée de façon aiguë était aussi celle du bon enchaînement des massages. Trouver le bon équilibre (tête, corps, pieds...), la bonne fréquence. Citons-en les auteurs : Jeam, Maew, Aui, King...
J'ai donc fait suivre les lectures les plus hétéroclites. "Sexotherapies", de la journaliste Elsa Fayner, dont le pluriel du titre ne laisse pas présager que l'on va suivre la pratique d'une seule thérapeute, et qui, je l'avoue, ne m'a pas appris grand chose. "Jour de souffrance", déjà cité. "Sur la plage de Chesil", de l'anglais Ian McEwan, que j'avais acheté par curiosité, ne connaissant rien de cet auteur. Un livre que je ne ramènerais pas dans ma valise, de même que celui de l'irakien Sinan Antoon, "Seul le grenadier". "Les Rameaux noirs", de Simon Liberati (éd. Stock) , dont j'attendais beaucoup et qui, forcément, a déçu cette attente. J'imaginais une nouvelle family affair autour de son père, dont j'avais lu expressément le livre "Vieux Capitaine" (Les éditeurs français réunis, 1958), mais ce n'est ni l'objet ni le ton de cet ouvrage. Enfin je commence un autre Millet, "Une enfance de rêve" (Flammarion également) , ce qui confirme mon goût du récit, et plus particulièrement du roman familial... Une addiction ?
Mais la question qui s'est posée de façon aiguë était aussi celle du bon enchaînement des massages. Trouver le bon équilibre (tête, corps, pieds...), la bonne fréquence. Citons-en les auteurs : Jeam, Maew, Aui, King...
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