À quoi voit-on que les beaux jours sont là?
Oui, je sais, c'est de la provoc', si l'on regarde le ciel à cet instant et les trombes d'eau qui tombent sur Paris (sans compter la grèle des nuits précédentes...)
Cependant dans les quelques heures (très) chaudes de ce week-end, une escapade au rayon bricolage du Bhv m'a apporté la preuve indiscutable que la belle saison se déployait bien là, maintenant.
Dans les bacs qui balisent le chemin jusqu'aux caisses et devant lesquels, donc, le client est obligé de passer, se tiennent les indispensables de l'été. Marc Levy et Katherine Pancol y côtoient le tue-frelons.
Tuer le temps et les insectes : attention, littérature et aérosol à usage externe uniquement.
Oui, je sais, c'est de la provoc', si l'on regarde le ciel à cet instant et les trombes d'eau qui tombent sur Paris (sans compter la grèle des nuits précédentes...)
Cependant dans les quelques heures (très) chaudes de ce week-end, une escapade au rayon bricolage du Bhv m'a apporté la preuve indiscutable que la belle saison se déployait bien là, maintenant.
Dans les bacs qui balisent le chemin jusqu'aux caisses et devant lesquels, donc, le client est obligé de passer, se tiennent les indispensables de l'été. Marc Levy et Katherine Pancol y côtoient le tue-frelons.
Tuer le temps et les insectes : attention, littérature et aérosol à usage externe uniquement.
In cauda venenum. Pancol me semble quand même mériter mieux que le voisinage du calamiteux Levy. Et à propos de Dard ...j'ai appris (dans les mémoires de Régine Deforge) que Cocteau aimait la langue des San Antonio. Voilà un voisinage à envisager, à usage interne.
RépondreSupprimerOui, tu as vraiment raison concernant Pancol.
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