"Flaubert se félicitait de son activité sexuelle à Naples : "Dans la molle Parthénope, je ne débande pas...", attribuant cette lubricité à "la proximité du Vésuve qui [lui] chauffe le cul" et qui "monte au coeur, par les fesses". Le parc du Vésuve sert aujourd'hui de baisodrome aux jeunes gens qui vont connaître des étreintes fugitives dans les buissons. Des campagnes de "guerre à la pollution des petits couples" ont même eu lieu."
Extrait de Naples allegro con fuoco, de Véronique Bruez, éditions Gallimard,
collection Le sentiment géographique.
Les confessions de Flaubert sont issues de sa correspondance, lors de son second voyage italien, en 1851 (le premier date de 1845). C'est à l'illustrateur Camille Rogier qu'il confie des détails sur sa vie intime et sur quelques menus problèmes sexuels dont la résolution lui permet de clamer enfin : "Je peux maintenant me présenter généreusement en société. Et je m'y présente, ô Rogier. Dans la molle Parthénope, je ne débande pas, je fous comme un âne débâté. Le contact seul avec mon pantalon me fait entrer en érection. Un de ces jours, je vais m'abaisser jusqu'à enfiler la blanchisseusse qui trouve que je suis "molto gentile". "
Extrait de Naples allegro con fuoco, de Véronique Bruez, éditions Gallimard,
collection Le sentiment géographique.
Les confessions de Flaubert sont issues de sa correspondance, lors de son second voyage italien, en 1851 (le premier date de 1845). C'est à l'illustrateur Camille Rogier qu'il confie des détails sur sa vie intime et sur quelques menus problèmes sexuels dont la résolution lui permet de clamer enfin : "Je peux maintenant me présenter généreusement en société. Et je m'y présente, ô Rogier. Dans la molle Parthénope, je ne débande pas, je fous comme un âne débâté. Le contact seul avec mon pantalon me fait entrer en érection. Un de ces jours, je vais m'abaisser jusqu'à enfiler la blanchisseusse qui trouve que je suis "molto gentile". "