On pourrait dire, le voyage au Japon, c'est l'effet Kiss cool. Double dépaysement. Car au retour en France, on regarde, sans le vouloir, sa ville avec des yeux de japonais.
Le métro, qui auparavant nous paraissait bigarré de publicités, semble dénudé en comparaison de l'univers saturé de signes de son équivalent nippon. Et l'espace des voitures paraît encombré de sièges empêchant la circulation, là où le vide règne au centre des wagons du métro japonais, les assises reléguées sous les fenêtres, le long des flancs de l'habitacle.
Mais c'est surtout la saleté parisienne qui frappe. La très grande saleté des sols, des couloirs, des escaliers..., des trottoirs également lorsque l'on sort dans la rue.
J'imagine clairement maintenant le désarroi des touristes japonais découvrant la France, eux qui chérissent tant notre pays que nombre d'enseignes chez eux portent des noms français (Mon cher, Le Duc...), avec, souvent, de charmantes fautes de langage (Champ de herbe, Laissé passé...).
Le métro, qui auparavant nous paraissait bigarré de publicités, semble dénudé en comparaison de l'univers saturé de signes de son équivalent nippon. Et l'espace des voitures paraît encombré de sièges empêchant la circulation, là où le vide règne au centre des wagons du métro japonais, les assises reléguées sous les fenêtres, le long des flancs de l'habitacle.
Mais c'est surtout la saleté parisienne qui frappe. La très grande saleté des sols, des couloirs, des escaliers..., des trottoirs également lorsque l'on sort dans la rue.
J'imagine clairement maintenant le désarroi des touristes japonais découvrant la France, eux qui chérissent tant notre pays que nombre d'enseignes chez eux portent des noms français (Mon cher, Le Duc...), avec, souvent, de charmantes fautes de langage (Champ de herbe, Laissé passé...).
Oh, toi, il va te falloir un petit temps de réadaptation avant de retourner à Naples.
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