Après avoir reéprouvé la parenthèse de chaleur sèche au sortir de l'avion en transit à Muscat, j'ai retrouvé ce dimanche Paris Charles de Gaulle dans le brouillard et la ville sous la pluie (anecdote associée au film que j'ai revu au retour, Midnight in Paris.)
Pour un premier billet qui s'intitulait Sur un nuage, le voyage s'achève sous une chape blanchâtre.
Je retourne ce soir sur les billets précédents pour modifier les tailles de photos (ce que je ne peux faire avec ma tablette en déplacement), ajouter quelques légendes et quelques informations pratiques en bas des "posts".
Avant de partir, j'ai comme à mon habitude consulté des blogs plutôt que des guides du Vietnam et deux d'entre eux ont retenus mon attention et m'ont réellement servi : celui d'Aurélie Amiot, et celui qui s'intitule Good morning Hoi an.
Ce dernier m'a notamment permis une virée en vélo amusante à la recherche d'un pont de bambou long de 320 mètres, au fin fond de la campagne, la balade traversant autant des zones verdoyantes et agricoles que des zones désertiques, sableuses, où des tombes colorées sont disséminées.
Ce dernier m'a notamment permis une virée en vélo amusante à la recherche d'un pont de bambou long de 320 mètres, au fin fond de la campagne, la balade traversant autant des zones verdoyantes et agricoles que des zones désertiques, sableuses, où des tombes colorées sont disséminées.
Vue depuis le pont Cua Dai, tout neuf, inauguré l'année dernière. |
Des tombes. |
Le pont de bambou, prétexte et but de notre balade. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire