Ça fait du bien ce petit voyage à Tahiti, non ?
En tout cas moi j'ai eu besoin d'évasion ces jours-ci. Dans la maison mega bordélique où subsiste encore des problèmes de plomberie ici et d'électricité là, il m'a fallu fuir ces mornes réalités. Pourtant, en passant devant toutes ces personnes qui vivent dans la rue, mes légers désarrois face à ces contrariétés ménagères me parurent bien relatifs.
Notamment ceux qui dorment sur la grille de métro, à quelques mètres de cet immense et fastueux pigeonnier que j'ai déjà mentionné ici, billet du 16 juillet, et qui, je l'assure, n'a jamais – mais jamais! – vu l'ombre d'un pigeon nicher à l'intérieur depuis son implantation (mais combien ça a couté cette idiotie, cette maison vide, inaccessible, comme justement narguant les sdf du haut de son piédestal ?)
Difficile aussi de suivre l'actualité à mon rythme puisque mon accès Internet est toujours en rade : savoir que sous ses allures de procédure simplissime, la formule de déménagement de Free se résume en réalité à nouvelle inscription, ce qui prend une quinzaine de jours. Mais comme pour ce faire il est indispensable que la ligne du précédent locataire soit résilée, ce qui met aussi une quinzaine de jours, vous voici un mois sans téléphone ni connexion. Sympa... Je suis donc avec des jours de retard la situation égyptienne, et attends de glaner suffisamment d'informations pour me faire une idée juste sur le sujet.
Grâce à un ami qui me prête un ouvrage sur la relaxation psychanalytique (relaxation Michel Sapir), je me lance à farfouiller dans mes tas de livres (la bibliothèque n'est pour l'instant qu'une suite de colonnes, de stèles et de monticules serrés les uns contre les autres) à la recherche d'un bouquin sur Joyce McDougall. Contre toute attente je le trouve vite – il est signé de Ruth Menahem, mère de la belle et tant regrettée Nadine – et il côtoie sans raison logique Noa Noa que j'avais tout récemment acquis chez un soldeur.
Voilà pourquoi, au fil de mes échappées – qui comptèrent aussi le visionnage des films de Guy Gilles, dont je reparlerais sans doute – Gauguin a apporté ses couleurs à ce blog.
Et dans cette exploration, je me suis dit qu'il serait judicieux de mettre ma bibliothèque/dvdthèque en ligne, via un blog, sur le mode "je prête, je donne, je vends". Non qu'elle soit considérable, mais elle dort alors qu'elle pourrait éveiller.
En tout cas moi j'ai eu besoin d'évasion ces jours-ci. Dans la maison mega bordélique où subsiste encore des problèmes de plomberie ici et d'électricité là, il m'a fallu fuir ces mornes réalités. Pourtant, en passant devant toutes ces personnes qui vivent dans la rue, mes légers désarrois face à ces contrariétés ménagères me parurent bien relatifs.
Notamment ceux qui dorment sur la grille de métro, à quelques mètres de cet immense et fastueux pigeonnier que j'ai déjà mentionné ici, billet du 16 juillet, et qui, je l'assure, n'a jamais – mais jamais! – vu l'ombre d'un pigeon nicher à l'intérieur depuis son implantation (mais combien ça a couté cette idiotie, cette maison vide, inaccessible, comme justement narguant les sdf du haut de son piédestal ?)
Difficile aussi de suivre l'actualité à mon rythme puisque mon accès Internet est toujours en rade : savoir que sous ses allures de procédure simplissime, la formule de déménagement de Free se résume en réalité à nouvelle inscription, ce qui prend une quinzaine de jours. Mais comme pour ce faire il est indispensable que la ligne du précédent locataire soit résilée, ce qui met aussi une quinzaine de jours, vous voici un mois sans téléphone ni connexion. Sympa... Je suis donc avec des jours de retard la situation égyptienne, et attends de glaner suffisamment d'informations pour me faire une idée juste sur le sujet.
Grâce à un ami qui me prête un ouvrage sur la relaxation psychanalytique (relaxation Michel Sapir), je me lance à farfouiller dans mes tas de livres (la bibliothèque n'est pour l'instant qu'une suite de colonnes, de stèles et de monticules serrés les uns contre les autres) à la recherche d'un bouquin sur Joyce McDougall. Contre toute attente je le trouve vite – il est signé de Ruth Menahem, mère de la belle et tant regrettée Nadine – et il côtoie sans raison logique Noa Noa que j'avais tout récemment acquis chez un soldeur.
Voilà pourquoi, au fil de mes échappées – qui comptèrent aussi le visionnage des films de Guy Gilles, dont je reparlerais sans doute – Gauguin a apporté ses couleurs à ce blog.
Et dans cette exploration, je me suis dit qu'il serait judicieux de mettre ma bibliothèque/dvdthèque en ligne, via un blog, sur le mode "je prête, je donne, je vends". Non qu'elle soit considérable, mais elle dort alors qu'elle pourrait éveiller.
oui-oui pour donner une seconde vie à tes précieux ouvrages; mais quel travail titanesque?
RépondreSupprimerYolande
Oui, oui très bien Gauguin mais aura-t-on droit à un post sur la relaxation psychanalytique selon Michel Sapir ? Cela semble encore plus énigmatique que les "arearea" de Paul...
RépondreSupprimerPour terminer l'année j'observe la dizaine de titres ayant fait "la une" de ce blog depuis la création. Un beau résumé ....
RépondreSupprimerAmour
Asselineau
Beauté
Blog
Ema
Imprévu
Paris
Soin
Ecriture
Qui se risque à un joli texte comprenant cette petite dizaine de perles?
2011 Baisers
yolande