Dans le wagon, quelques américaines ne sont apparemment pas renseignées sur le monde de la haute montagne qu'elles pensent aborder en mini short et tongs de cuir fauve. Moi je ferais l'expérience qu'avec un tiers de poumon en moins, la raréfaction de l'oxygène se sent rudement.
Dimanche, quelques 3000 mètres plus bas et avec 30 degrés de plus, ce sont les plaisirs de la plage campagnarde. Jamais vu autant de monde ici en été, les grosses températures sont évidemment cause de l'affluence. La rivière est pleine de baigneurs et d'embarcations de toutes sortes qui glissent lentement comme sur la rivière enchantée du Jardin d'acclimatation de mon enfance, les îles où l'on se bronze nu ressemblent à une photo de Spencer Tunick.
Il fait chaud. Je suis abreuvé d'amour.
À gauche, un parmi les packagings de l'été des bouteilles de Coca-Cola. À droite, la tisane de la félicité, au chanvre. |
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