J'aurais dû décrypter le rideau de végétation, cela veut dire : on ne voit rien. La réalité, outre que je n'ai jamais entendu une cloche depuis que je suis là, c'est que le haut de cette colline se résume à un espace riquiqui circulant autour du stupa, bondé de lecteurs de guides touristiques bien déterminés à faire leur satanée photo de coucher de soleil. Un cauchemar.
Alors que le long du Mékong s'égrènent de charmantes terrasses d'où la vue est magnifique. Mieux encore, regarder le soir décliner sur la ville depuis la rive opposée, à côté du wat Chomphet. On y est seul.
On traverse le fleuve sur un bac pour 5000 kips.
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