Dans la journée on marche dans la neige, jusque la forêt où un instant on joue à cache cache avec un daim.
Le soir, dans l'appartement surchauffé je dors sous la protection du citronnier et de ses fruits jaunes et verts. (Je repense, ici encore, au film de Victor Erice, El sol del membrillo - traduit en français par le Songe de la lumière -, autour d'un cognassier que tente de saisir le peintre Antonio Lopez Garcia. )
Ça dure quelques jours brefs et puis c'est terminé, presque loin déjà.
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