Semis de confinement, jour 40. |
Une semaine déjà que nous sommes dans "le monde d'après". Alors, ça vous fait quoi ?
Non, je blague, là nous ne sommes que dans l'après-confinement. "Le monde d'après", c'est pour plus tard. Ou alors on va passer dans ce monde-là, celui d'après, tout progressivement sans s'en rendre compte ?... Sans même qu'on nous demande notre avis ?...
J'ai retrouvé le plaisir du vélo. Ce n'était pas interdit de faire du vélo, mais il y a eu tellement de couacs et de déclarations contradictoires émanant des différents ministères à ce sujet que le risque était grand de se trouver devant un flic qui, lui, n'aurait pas été au courant que c'était permis. J'avais la flemme d'une prune et d'une contestation de prune.
Côté monde d'après et légalité, je mets ici un lien très utile, clair et précis, sur les dispositions prévues dans le cadre de la gestion de la Covid 19.
Ne pas se laisser influencer par la banalisation ambiante de la délation. On parle ici de santé publique, et c'est justement une raison de ne pas faire n'importe quoi.
Ne pas se laisser influencer par la banalisation ambiante de la délation. On parle ici de santé publique, et c'est justement une raison de ne pas faire n'importe quoi.
Extrêmement docile, j'ai rédigé une quantité industrielle d'attestations pendant le confinement. Et ça, c'est vraiment fini! |
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