Ce qui m'ont cru parti vers Cannes se sont trompés. Évidemment, le billet précédent était ambigu mais j'ai d'autres palmes à fouetter. Sous le soleil espagnol avec, entre autres, les pages brûlantes de l'Etranger, de Camus.
Ci-dessous : détail d'un set en papier du restaurant populaire Can Costa, un des rares restos de ma jeunesse à être toujours ouvert (le Bon Profit a fermé ses portes l'année dernière) ; spéciale dédicace à Christophe, le tunnel reliant Ibiza ville au rivage côté Figueretas ; vue sur Figueretas le soir.
Ci-dessous : détail d'un set en papier du restaurant populaire Can Costa, un des rares restos de ma jeunesse à être toujours ouvert (le Bon Profit a fermé ses portes l'année dernière) ; spéciale dédicace à Christophe, le tunnel reliant Ibiza ville au rivage côté Figueretas ; vue sur Figueretas le soir.
Merci ! J'apprécie ces souvenirs. C'est drôle, j'ai failli y retourner la semaine dernière. Mais poussé par la curiosité de Palma de Mallorca où je fis escale l'été dernier, j'y suis retourné. J'ai eu la grande chance de séjourner dans la villa qu'un architecte espagnol s'est construite à la fin des années 60. Et j'ai été abasourdi parce que c'est exactement ce que j'aurais fait. Le site est exceptionnel : il donne à la fois sur le port et ses traffics très drôles de yachts huppés et en même temps sur le large. Quelques plateformes aménagées entre les rochers et les pins desservent "une plage privée". Je donnerais aux lecteurs de ce blog qui le souhaitent, le site sur lequel louer cette villa. SdA
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