Chère amie laine vous m'entraînez à une impudeur dont je ne suis pas coutumier bien que depuis l'existence de ce blog je bouscule joyeusement les limites de la discrétion que je me fixe habituellement.
N'ayant pas vos cordonnées pour vous répondre en privé je me vois obligé, au su et vu de tout le monde, de le faire via ce blog ; je pourrais, il est vrai, publier ma réponse sous forme de commentaire à la suite du votre (08/01/11) mais j'ai eu peur que sous cette forme discrète (trop cette fois!) il ne vous apparaisse pas et que vous pensiez votre message sans réponse.
Ceci dit et avant toute autre chose : merci de vos baisers affectueux, je les ai pris au sérieux et ils m'ont fait le plus grand bien.
Je ne vais pas tenter d'exprimer par écrit tous les sentiments qu'ont fait naître en moi vos quelques lignes : je ne possède pas ce talent-là d'écrivain. Mais sachez que pour le parisien dur à cuire que je suis, tous ces noms de villes ensoleillées que vous citez sont comme un sésame qui ouvre en moi une nostalgie étrange du sud de la France que je relie à mes origines provençales. (Je me nomme Frédéric en référence à Frédéric Mistral...). Et que votre vie condensée en quelques mots m'a paru comme un poème, simple et chaleureux.
Je n'ai pas saisi tout de suite ce que vous disiez de "Suzette" et de ce qu'elle avait écrit. Il m'a fallu une deuxième lecture pour comprendre qu'il s'agissait bien d'un livre. De fait je l'ignorais. Je viens de le commander sur Internet.
Mais ce qui m'interroge par-dessus tout mamy laine, c'est pourquoi un premier janvier 2011 devant votre ordi, vous tapotez "Lou Goaco" ????
C'est LA question que se posent ceux qui font de même, mus tout à coup par une urgence.
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