Aujourd'hui je vous propose un voyage en Afrique.
Au Ghana d'abord, avec Denis Dailleux, photographe qui expose en ce moment à la galerie Camera Obscura, dans le 14e.
J'ai connu son travail par ses photos sur l'Egypte : des scènes posées, plutôt centrées autour de portraits de gens de la rue, aux couleurs orientalistes (je simplifie). Depuis quelques années il travaille sur un espace ouvert, la mer, et d'autres petits métiers, ceux de la pêche. Les corps sont libres, presque ou parfois nus, des flous, des bougés trouvent leur place dans des œuvres qui n'ont pas perdu leurs références picturales.
Moi je n'ai pas encore vu l'exposition ; on retrouve aussi ses photos dans le deuxième numéro de la revue 6 mois qui, on l'aura compris, est un peu l'inverse du journal 20 minutes. 6 mois est consacrée au photo journalisme et pour tout savoir sur cette petite sœur de la revue XXI, cliquez par ici.
Ce sera l'occasion aussi de rencontrer un autre photographe, africain celui-là (du Niger), Andrew Esiebo, autodidacte de talent et sensible raconteur d'histoires. Son site nous offre de nombreux portfolios et trois vidéos (en réalité des œuvres multimédia puisque les images sont fixes) qui disent beaucoup en quelques minutes. Ne pas rater la série soccer worlds, et celle sur les grands-mères footballeuses, alter gogo.
Galerie Camera Obscura, 268, boulevard Raspail, 75014. L'exposition est programmée jusqu'au 22 octobre.
Au Ghana d'abord, avec Denis Dailleux, photographe qui expose en ce moment à la galerie Camera Obscura, dans le 14e.
La voile, James Town, Accra, Ghana, 2009. Denis Dailleux. |
J'ai connu son travail par ses photos sur l'Egypte : des scènes posées, plutôt centrées autour de portraits de gens de la rue, aux couleurs orientalistes (je simplifie). Depuis quelques années il travaille sur un espace ouvert, la mer, et d'autres petits métiers, ceux de la pêche. Les corps sont libres, presque ou parfois nus, des flous, des bougés trouvent leur place dans des œuvres qui n'ont pas perdu leurs références picturales.
Moi je n'ai pas encore vu l'exposition ; on retrouve aussi ses photos dans le deuxième numéro de la revue 6 mois qui, on l'aura compris, est un peu l'inverse du journal 20 minutes. 6 mois est consacrée au photo journalisme et pour tout savoir sur cette petite sœur de la revue XXI, cliquez par ici.
Photo d'Andrew Esiebo, extraite de la série Femi Kuti and the Afrika Shrine. |
Ce sera l'occasion aussi de rencontrer un autre photographe, africain celui-là (du Niger), Andrew Esiebo, autodidacte de talent et sensible raconteur d'histoires. Son site nous offre de nombreux portfolios et trois vidéos (en réalité des œuvres multimédia puisque les images sont fixes) qui disent beaucoup en quelques minutes. Ne pas rater la série soccer worlds, et celle sur les grands-mères footballeuses, alter gogo.
Galerie Camera Obscura, 268, boulevard Raspail, 75014. L'exposition est programmée jusqu'au 22 octobre.
merci pour le lien d'esebio, il est génial.
RépondreSupprimerbiz
w
En effet, merci !
RépondreSupprimerAnonyme