Je capture quelques photos de Michel Butel sur mon écran d'ordi, d'après une émission d'Arrêt sur images que j'ai téléchargée l'autre jour, où l'on retrouve, autour de "K, histoires de crabe" (voir posts du 2 et 3 septembre), de Marido Arrighi : Ariane Mnouchkine, Odile Benyahia-Kouider et Michel Butel.
L'intelligence de Butel, souple, douce, profonde sans lourdeur : de la poésie. Par instant son visage fait penser à une face sculptée d'empereur romain qui de marbre serait devenue d'un plâtre tendre, tendu à la lumière, accueillant l'extérieur. Il évoque avec fermeté la nécessité de "célébrer la beauté du monde".
Ensuite je me demande si cet être doux ne serait pas susceptible de se transformer en monstre de colère, avalant quelques collaborateurs par jour, éructant de blanches vapeurs et produisant des flux d'écume rageuse. Gare.
Nelly m'appelle à cet instant d'Istanbul : dans vingt-quatre heures elle sera ici, à la maison.
L'intelligence de Butel, souple, douce, profonde sans lourdeur : de la poésie. Par instant son visage fait penser à une face sculptée d'empereur romain qui de marbre serait devenue d'un plâtre tendre, tendu à la lumière, accueillant l'extérieur. Il évoque avec fermeté la nécessité de "célébrer la beauté du monde".
Ensuite je me demande si cet être doux ne serait pas susceptible de se transformer en monstre de colère, avalant quelques collaborateurs par jour, éructant de blanches vapeurs et produisant des flux d'écume rageuse. Gare.
Nelly m'appelle à cet instant d'Istanbul : dans vingt-quatre heures elle sera ici, à la maison.
Michel Butel. |
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