Détestant les posts interminables (comme celui d'hier), la plupart du temps après avoir écrit un billet, j'en enlève plusieurs lignes ici où là, quitte à supprimer des "infos". Bien sûr le terme d'informations concernant un blog qui ne parle de rien, ou d'aucune autre matière que celle d'un journal intime, cela fait sourire. En tout cas, moi ça me fait gamberger.
Comme j'ai en projet de travailler sur les blogs dans le cadre d'un mémoire de psychothérapie, j'en lis pas mal : beaucoup n'ont pas du tout la forme d'un journal perso, mais s'attachent au contraire à avoir l'air d'un journal pro, et le ton de l'écriture à avoir l'air journalistique.
Ce qui démultiplie à l'infini cette catastrophe que l'on constate aussi à la lecture de la presse papier, à savoir que tout le monde donne son avis sur n'importe quoi, et que la notion même de critique est perdue.
Serge Daney, au secours, reviens !
Ce midi j'envoie de nouveau une lettre à Y, avec cette fois mon adresse mail (voir post du
15 septembre). Dans la première (datée du 6 septembre) je lui indiquais, concernant la mort de Fred : "j'ai dû faire le deuil de lui uniquement avec le panache de fumée aperçu au dessus du crématorium. On connaît l'histoire, c'est peu."
15 septembre). Dans la première (datée du 6 septembre) je lui indiquais, concernant la mort de Fred : "j'ai dû faire le deuil de lui uniquement avec le panache de fumée aperçu au dessus du crématorium. On connaît l'histoire, c'est peu."
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