jeudi 16 septembre 2010

vintage

Aujourd'hui je déjeune avec Véronique G. Elle a le projet d'un livre d'entretiens autour de la spiritualité que je ne m'autorise pas à détailler ici, et elle pense que mon regard pourrait l'aider. Nous en discutons dans un restaurant indien (qui il me semble devient de plus en plus mauvais) et je suis content de la voir en forme, dynamique, enjouée.
Je ne suis pas sûr de l'avoir aidée beaucoup, mais un peu certainement.


De mon côté je tousse pas mal, avec des sensations d'essoufflement par moments : il n'y a pas à dire, ça marcelproustise côté poumon. Je rappelle le médecin (EMA) dans l'après-midi et demain j'irai la voir (avant je devrais avoir fait une prise de sang et une radio pulmonaire, pas sûr que j'en aie l'énergie).

J'ai terminé le bouquin de Marie-Dominique Arrighi. C'est fort. Ce qui est beau c'est le rythme que prend le blog vers la fin de sa vie. Les billets sont plus espacés, brûlants, ça m'a happé en tant que lecteur, comme s'il s'agissait d'un thriller dont je cherchais le dénouement (alors que malheureusement, il est connu).

Nelly a quitté la maison et quand je rentre je trouve un mot, des livres slim (Philippe Grimberg) et plein de petites traces de sa vie ici que je vais laisser traîner quelques temps ça et là, pour le plaisir. 

Petite gourmandise mode : ce matin j'ai mis d'anciennes chaussures Girbaud, des années 80.


1 commentaire:

  1. Il me semble que j'ai déjà posé la question et oublié la réponse : Les Tokyo Kumagaï existent-elles toujours ?

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