Je découvre ce week-end le film de Annie Leonard, "The Story of Stuff" (il date de fin 2007, je crois), sur les dérives du consumérisme. La vidéo dure une vingtaine de minutes et propose des sous-titres en différentes langues, c'est là.
Pas de discours moralisateur (vilain consommateur), pas de constat démoralisant (on ne peut rien faire), mais une animation graphique et un propos simple qui mettent noir sur blanc l'absurdité du système détruire-pour-produire-pour-jeter.
Avec des prises de conscience toutes bêtes : quand on achète un gadget pour une somme ridicule dans un magasin discount, qui a payé pour que cet objet nous arrive dans les mains à ce prix-là ?... Réponse dans le film.
Il y a aussi "The Story of Cosmetics", "The Story of Bottled Water" et "The Story of Cap and Trade" (ceux-là, sauf erreur de ma part, sont à écouter en anglais).
En fin de journée je vais bouquiner au soleil au square des Récollets. Ce n'est pas le bon jour pour cela, puisque le petit parc est investi par une sorte de village des associations. Je n'ai malheureusement pas l'énergie de regarder les stands. Je trouve un petit coin de pelouse et poursuit la lecture de "Un secret", de Philippe Grimbert.
Sur le kiosque à musique, des groupes se suivent et en fin d'après-midi, une formation de free jazz avec chanteur militant plutôt sympa, dont je ne trouve le nom nulle part : contrebasse, accordéon, saxo, percu. Ces quatre-là font place à un chanteur afghan qui se lance dans une mélopée sentimentale à souhait, et toute la communauté afghane du square se rassemble autour du kiosque, ravie. Danse, tapes dans les mains, photos avec les portables etc.
Nelly appelle ce soir et me raconte qu'elle a pleuré sur la pierre où César a été incinéré, la première fois qu'elle est allée à Rome.
Sur le kiosque à musique, des groupes se suivent et en fin d'après-midi, une formation de free jazz avec chanteur militant plutôt sympa, dont je ne trouve le nom nulle part : contrebasse, accordéon, saxo, percu. Ces quatre-là font place à un chanteur afghan qui se lance dans une mélopée sentimentale à souhait, et toute la communauté afghane du square se rassemble autour du kiosque, ravie. Danse, tapes dans les mains, photos avec les portables etc.
Nelly appelle ce soir et me raconte qu'elle a pleuré sur la pierre où César a été incinéré, la première fois qu'elle est allée à Rome.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire