Rétrospectivement, alors que je n'ai ni cahier des charges ni contrainte pour ce blog, je remarque que j'aime qu'il ait ma "couleur". Plus les faits relatés dans les billets sont minimes par rapport à mes activités et à mes affres de la journée, plus leur exposé, aussi futile soit-il, doit rendre justice à ma météo intérieure. C'est ma petite exigence.
Et ces deux derniers jours, aujourd'hui et hier, sont marqués par les contradictions. Comment faire cohabiter les plaisirs esthétiques, les déceptions de lecteur, les agacements passagers (et oui, le boulot...), les sentiments amoureux, les élans érotiques, les anecdotes amusantes, les projets dynamisants... J'ai renoncé.
Autre frein à l'expression ces jours-ci : d'une part part je censure ce que j'aurais à écrire sur mon boulot, et d'autre part j'ai reçu quelques sombres nouvelles que je ne peux partager "en public" car elles ne me concernent pas directement, même si elles m'affectent droit au cœur.
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