Il y a un peu moins d'un an que j'étais parti en Thailande visiter ces sites maintenant à demi sous l'eau.
À cette même époque, Farid et Lætitia (le jeune couple sdf) vivaient encore dans la rue, à la recherche d'un abri. Ils avaient la promesse d'un hébergement avant l'hiver et, à mon retour de vacances, ils avaient disparus. À ma connaissance, ils ne sont jamais repassé dans le quartier. Je repense souvent à eux devant le supermarché où ils faisaient la manche. Trouver un toit, se mettre au sec ; les réalités sont multiples.
Ces premiers jours de froid sont aussi l'occasion d'une célébration, celle du 17 octobre 1961. Cinquante ans. J'avais quelques mois à cette époque, et c'est pourtant mon époque ces années soixante en noir et blanc. Pour s'en souvenir, il y a toujours le documentaire Maurice Papon, itinéraire d'un homme d'ordre, réalisé par Emmanuel Hamon et co-écrit par Marc Olivier Baruch, déjà cité ici.
À cette même époque, Farid et Lætitia (le jeune couple sdf) vivaient encore dans la rue, à la recherche d'un abri. Ils avaient la promesse d'un hébergement avant l'hiver et, à mon retour de vacances, ils avaient disparus. À ma connaissance, ils ne sont jamais repassé dans le quartier. Je repense souvent à eux devant le supermarché où ils faisaient la manche. Trouver un toit, se mettre au sec ; les réalités sont multiples.
Alternance de photos de vacances fin 2010 et de photos d'actualité. |
Ces premiers jours de froid sont aussi l'occasion d'une célébration, celle du 17 octobre 1961. Cinquante ans. J'avais quelques mois à cette époque, et c'est pourtant mon époque ces années soixante en noir et blanc. Pour s'en souvenir, il y a toujours le documentaire Maurice Papon, itinéraire d'un homme d'ordre, réalisé par Emmanuel Hamon et co-écrit par Marc Olivier Baruch, déjà cité ici.
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Photo Mehdi Fedouach/APF. |
Boudha couché dans son bain après avoir pris une bonne douche....touchant non?
RépondreSupprimeryolande
Yoyo... mais qu'est-ce qu'il y a sous ton grand chapeau ?
RépondreSupprimerEt ne réponds pas : "T'es qui toi ?". Ça n'a pas d'importance. Réponds plutôt à ma question !
Sous mon grand chapeau? Un petit pois... c'est pour cela que le chapeau est grand, pour cacher mon inculture!
RépondreSupprimerC'est aussi pour cela que je me promène dans une "immensité" épatante, comme dirait ma grand-mère.
Elle vous dirait aussi: "Et vous cher Anonyme, que font vos parents?"....Tout une époque sous les eaux de la modernité.
yoyo