vendredi 17 août 2018

derniers jours à l'Orangerie

L'exposition se termine le 20 août et ce serait vraiment dommage de la louper. 

L'abstraction américaine et le dernier Monet, c'est une petite sélection des peintres américains des années 1950 qui, à la suite du Monet ultramoderne des Nymphéas, vont développer une forme d'expressionnisme abstrait. On y retrouve des oeuvres des artistes évoqués dans le billet précédent (de Kooning, Pollock, Newman) mais aussi de l'incontournable Joan Mitchell, de Philip Guston, Morris Louis etc., alternant avec des toiles du maître de Giverny.
Les salles sont malheureusement petites et bas de plafond, mais c'est ainsi, c'est la vie.

L'expo est l'occasion de lire (ou de découvrir) les analyses pertinentes du critique Clement Greenberg et de se rappeler que certains, à l'inauguration de l'Orangerie, voyaient dans la série des Nymphéas  "la plus grave erreur artistique commise par Monet". Sans commentaire.

Ellsworth Kelly, Tableau vert, 1952.
Willem de Kooning, Villa Borghese, 1960.

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