jeudi 11 août 2016

Nantes, fin

Et voilà. Dernier post pour partager mon "voyage à Nantes". Après une visite au marché de Talensac et à l'exposition Grafikama, je suis donc allé au château des Ducs de Bretagne.
Comme prévu s'y trouve la partition de Nantes, pas très émouvante finalement (je m'attendais à des graffitis, des reprises, des gribouillages...) L'anecdote est sûrement connue mais moi je l'ai apprise à l'occasion : la rue de la Grange-aux-loups, citée dans la chanson, n'existait pas mais, en l'honneur de Barbara, une rue a été baptisée de la sorte en 1986.
Pour finir, je passe au Lieu Unique, espace culturel qui a investit les vestiges de l'usine LU. Je souhaitais voir l'exposition Leviathan et ses fantômes, de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel. Mais après avoir visionné quelques vidéos peu convaincantes, je m'arme de courage pour affronter la projection vedette de l'expo et ... paf, la lampe du projecteur explose. Noir complet.
C'est vraiment la fin.

La nuit et, en amorce, un morceau de l'installation
Les anneaux, de Daniel Buren, sur le quai des Antilles.

Place du Maréchal-Foch, avec la cathédrale
Saint-Pierre et Saint-Paul.






Ne suis-je pas homme et votre frère ? Un bol abolitionniste.



Une maquette de l'ancienne usine Lu. Aujourd'hui l'eau ne longe
 plus le bâtiment qui a lui aussi disparu à l'exception d'une petite portion,
siège du Lieu Unique, qui comporte encore la tourelle de gauche.

2 commentaires:

  1. C'est à partir d'ici que mi-août, j'ai laissé pas mal de commentaires (oh ! rien de très substantiel ) mais aucun n'a paru ! Mon nouveau navigateur, très sécurisé, n'a sans doute pas aimé... SdA

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  2. Ah oui? Rien n'est apparu de mon côté comme commentaires à publier. Mystère...

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