dimanche 2 juin 2019

Marseille, re suite

La Cité radieuse. A droite, la galerie censée accueillir à l'origine
des commerces de proximité : elle correspondant à la partie de la façade
qui présente des rythmes verticaux, que l'on voit à gauche.
Tout à fait à l'aise avec mon âme de touriste, je me suis inscrit à une visite guidée de la Cité radieuse afin d'accéder à l'un des appartements. Je n'ai pas été déçu. J'ai déjà eu l'occasion d'aller à la Cité radieuse de Rezé, près de Nantes, et également de voir l'un des appartements de l'unité d'habitation de Berlin, qui ne se visite pourtant pas, profitant avec mon amie F. de la mise en vente de l'un des modules.
Bien qu'excentré, le bâtiment est très facilement accessible, et la jeune guide qui officiait à cette heure-ci ce jour-là était parfaite, documentée, pédagogue et dynamique. J'ignorais qu'un hôtel s'y trouve maintenant, sinon j'aurais sans doute réservé une nuit dans les lieux. 

En se rendant au Palais Longchamp (à droite), on peut jeter un coup d'oeil
à la maison de l'architecte Gaston Castel (à gauche), réalisée en 1924, et inscrite
aux monuments historiques (2, impasse Croix-de-Régnier. Les deux endroits
sont quasiment reliés par la longue rue Chape).

J'avais quelques souvenirs du Musée d'histoire naturelle qu'abrite le Palais Longchamp (avec le Musée des beaux-arts) mais il est actuellement fermé pour travaux. Et toujours côté souvenirs, je suis passé voir le théâtre où, en 1990, j'avais participé à un spectacle de danse, donné un seul soir dans la ville. La pièce était conçue pour trois danseurs et six figurants, j'étais évidemment parmi ces derniers.

Le Théâtre des Bernardines.

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