vendredi 9 juin 2017

double war


Elles se font face dans le même couloir de métro ces deux publicités cinématographiques que je photographie à l'arrache avant-hier soir. C'est bien sûr la coïncidence alphabétique qui m'amuse, d'autant que, ignorant tout du film de Barbet Schroeder, je n'avais pas saisi l'ironie du mot vénérable. J'imaginais donc une affiche guerrière, face à une déclaration de paix. 

Ayant depuis visionné la bande annonce des deux longs-métrages, j'ai compris ma méprise. Le vilain wonder bonze n'a rien d'un dieu mais tout d'un salaud, et ses effets dans le réel sont plus inquiétants que les effets spéciaux de la fiction de Patty Jenkins. Moine le maudit, c'est ici.


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